Quand je joue – Décembre 2017

Un mois sans carte graphique, ça restreint le choix de jeux.

Grâce à un portable correct que l’on m’a prêté gentiment, j’ai tout de même pu piloter la finale du KLJV 4 dans Unturned, ainsi que l’after 2 semaines après.

Alpha_Valley_Bus
Unturned, les joueurs sont là, bien cachés…

Mais pour autant, le fait de ne pas avoir accès à des jeux exigeants visuellement m’a permis de passer des bons moments sur ceux de la liste suivante.

Onirim est l’adaptation d’un jeu de société en solitaire qui porte le même nom, à base de tirage de cartes à combiner. Une réussite style 21ème siècle quoi. Malgré son apparence d’un jeu pour tablette (la version existe), on retrouve un mécanisme redoutablement addictif.  L’avantage de la version numérique est que le mélange des cartes, qui intervient de façon récurrente, est automatisé. Comme quoi on y gagne autre chose que la mobilité… et la gratuité, car oui ce jeu est gratuit sur Steam.

Onirim
Jouer aux cartes sur son écran, comme il y a 20 ans…

Heroes of Normandy est un wargame vitaminé et cartoonisé. L’échelle est petite, on y dirige un nombre restreint d’unités sur un petit terrain. Les parties sont dynamiques et variées, car des cartes à « pouvoir » (bonus de défense, ou de puissance de feu) sont tirées aléatoirement. C’est vraiment fun, je m’y entraîne en solo et j’ai commencé à jouer des matches contre des ennemis amis qui me provoquent de loin (et qui s’appellent Harvester). J’ai de l’espoir, car le jeu se joue aussi en asynchrone, en clair chacun son tour quand on veut.

Heroes
Les cartes « action » de Heroes of Normandy. Amis du bon goût, à plus !

Comme les deux jeux cités précédemment, Twilight Struggle est lui aussi une adaptation d’un jeu de société/stratégie/plateau. C’est une simulation de guerre froide, donc de prise d’influence politique. Je fais le tutoriel jusqu’à ce que je comprenne. Deux leçons pour le moment : même si c’est passionnant, je n’imagine plus acheter la version boîte de jeux (60 euros). Aucun moyen de trouver un partenaire et du temps pour un jeu aussi complexe !
Mais l’asynchrone pourra me permettre un jour, d’affronter un autre joueur, et sur tablette peut-être.

Faster than Light nous donne la gestion d’un vaisseau spatial qui traverse à coup de jumps des systèmes planétaires. A chaque étape son événement : combat, commerce, butin, etc. Le vrai but est de se renforcer et de survivre jusqu’à la fin du voyage. Et comme on n’y arrive jamais, on joue pour avoir un meilleur score en fait. Malgré des graphismes dignes de game boy, ce jeu est très addicitf lui aussi.

Moralité : sans carte graphique, le cerveau travaille plus !

J’aime même lu aussi…

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